Voila, ce sont mes premiers écrits, et je n'ai rien retouché ; et mis à part les fautes d'orthographes qui doivent être présentes et auxquelles je n'ai pas fais gaffe, merci de me donner votre avis là dessus.
Et aussi, de me dire si ça vous donne envie de lire la suite ou pas ^^ , de connaitre plus le personnage, etc .....
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Être différent et ne pas plaire à
tout le monde est tout à fait normal, d'ailleurs, je n'aime pas tout
le monde, loin de là. Je suis d'une certaine neutralité, c'est à
dire que je ne juge pas les autres spontanément, au premier coup
d'œil. Pourtant, je suis jugé comme tous les autres, mais à un
physique, c'est une erreur que les chairs hypocrites stéréotypées
font toujours. Stéréotypées, pourquoi ? Parce qu'elles se
ressemblent toutes, elles ne réfléchissent, pas ou alors selon une
pensé bornée qui leur ai insufflé selon une pseudo morale, sans
queue ni tête. Mais n'est-ce pas un avantage ? Ne peut-on dans ce
cas pas être ce que l'on veut, libre ? Puisque si je change mon
physique et ma démarche, on me pensera autre ; dans ce cas je peux
tout être, étant donné, que c'est autant un masque que ma carte
d'identité.
Je m'appelle François, je suis lycéen
dans un lycée assez coté de Metz. Il se situe à quelques pas du
centre ville, rattaché à une vieille église, et a des allures
vétustes étant donné que c'est une abbaye datant du dix-neuvième
siècle. Et est à une vingtaine de kilomètres de mon appartement ;
bien entendu, je vis avec mes parents.
Chaque jour est le début d'un nouveau
cycle. Je me lève à 6h10 du matin, je déjeune et me dirige vers
mon arrêt de bus situé à cinq minutes de chez moi ; un lotissement
calme (en tout cas l'été) et où se regroupe boulangerie, bureau de
tabac, coiffeur et même un supermarché pas loin. Le chemin, est
presque agréable ; il n'y a personne, le calme règne, et la
sérénité que peuvent apporter les quelques rares rayons de soleil
font presque croire à une de ces prises de vues hollywoodiennes.
Arrivé à l'arrêt de bus, j'attends à peine quelques minutes, puis
la machine jaune arrive, elle s'arrête devant moi. Ouvre sa gueule.
Me voilà ainsi, avalé comme dans Pinochio …."